Dossier de presse – Un débat s’impose sur les droits en santé mentale
En lien avec le drame survenu à Montréal et la publication de notre lettre ouverte, voici une revue de presse regroupant différents articles ou entrevues d’intérêt.
«Depuis 25 ans, la FFAPAMM (Fédération des familles et amis de la personne atteinte de maladie mentale) et du CAP santé mentale réclament du gouvernement des amendements à la Loi P-38, cette fameuse loi qui, en principe, doit protéger les personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui. Année après année, les familles se butent à une fin de non recevoir puisqu’au Québec, les droits et libertés de la personne sont garantis par les chartes québécoise et canadienne. Priver quelqu’un de sa liberté, en le gardant ou en le traitant contre son gré, relève de l’évaluation de sa « dangerosité » et non pas de la perte de son jugement en lien avec sa maladie mentale. Sans volonté politique, ce dossier se retrouve devant l’Everest.
En quête de l’équilibre
En 2016, il est hors de question de réclamer un retour du balancier dirigé vers l’institutionnalisation des personnes atteintes de maladie mentale. Cependant, il y a urgence d’agir pour réfléchir collectivement à la notion des droits des personnes qui perdent leur jugement en raison d’un état psychotique qui risque de les entraîner dans le bas fond, voire même à commettre l’irréparable. »
À quand l’action ?
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