La stigmatisation se porte toujours bien
lapresse.ca | J’ai toujours un sentiment fugace que quelque chose de grave pourrait m’arriver. Je me méfie en scrutant les alentours. Et pourtant, je devrais être la dernière personne ayant un tel ressenti : je souffre moi-même de ce que l’on désigne comme une maladie mentale grave, un trouble bipolaire de type II. C’est dire que l’image du fou, celle même qui a poussé les fondateurs de l’institut où je suis suivi à le bâtir loin des regards, déserte nos esprits à pas de tortue. [ Lire la suite ]
La propriété des articles, photos ou images, capsules vidéo ou sonores et références mis à votre disposition appartient aux auteurs et vous sont offerts à titre informatif seulement. Ils ne reflètent pas systématiquement les orientations, la philosophie et les valeurs de CAP santé mentale. Image de vignette courtoisie pixabay.com.