
L’autre confinement
ledevoir.com | « C’était à la mi-avril et je suis sortie le 2 juillet », me dit D., qui préfère garder l’anonymat pour éviter d’être stigmatisée davantage. Au téléphone, sa parole est claire, mais sa voix est faible. « Je n’ai pas beaucoup d’énergie, me dit-elle. On m’a donné beaucoup de médicaments, c’était comme une […]