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Anna à l’école | Centre Nelligan – Roberval

Description du projet

Dans le but d’élargir nos services aux plus petits ainsi que notre visibilité, nous avons décidé d’aller rencontrer nos jeunes dans les écoles primaires afin de leur présenter « Anna et la mer ». Sous forme de conte, appuyé par des marionnettes, éclairage et musique (fond de mer), voix et images en PowerPoint, les enfants ont été en mesure de comprendre un peu mieux la maladie mentale et de découvrir qu’ils ont différentes ressources à leur disponibilité si un de leurs proches est atteint ou sera un jour atteint de maladie mentale.

L’activité se déroule sur une période de 45 minutes et contient un maximum de 50 enfants (pas plus de deux groupes à la fois) âgés de 7 à 12 ans. Tout au long du conte des « pauses » surviennent pour donner la parole aux enfants et que ceux-ci par la suite, puissent interagir avec l’intervenant(e). À la fin de l’activité, des petits cahiers d’exercices leur sont remis ainsi qu’un petit marque-page avec les ressources disponibles pour eux si un proche est atteint de maladie mentale.

L’activité qui comporte peu de frais et un maximum de visibilité a été très bien reçue par les commissions scolaires ainsi que par le personnel enseignant.

Retombées

Considérant que la meilleure façon de faire tomber les préjugés ainsi que d’informer la population sur la détresse que vivent parfois les proches d’une personne atteinte de maladie mentale demeure la sensibilisation, le Centre Nelligan a voulu sensibiliser les tout petits tout en leur donnant un service d’aide si nécessaire.

Suite à l’intérêt des enfants au sujet de la maladie mentale que la pièce « Anna et la mer » a engendré lors de la grande présentation théâtrale en mars 2011, Nelligan jugeait qu’il était primordial de continuer sur cette voie et de donner tous les outils, informations nécessaires aux jeunes enfants afin de les sensibiliser aux maladies mentales et par ainsi, espérer qu’au fil des ans ils puissent être en mesure d’aider une personne en détresse et d’être plus « empathique » et sensible à la cause des proches.

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Les textes sont reproduits de façon intégrale. La FFAPAMM n’en a édité ni le contenu, ni la syntaxe.