Quand les lacunes des mesures préventives provinciales nécessitent des mesures préventives fédérales : intervenir en aval pour éviter des drames
C’est ce matin [ 6 mars 2014 ] que la FFAPAMM, par la voix de sa présidente et de sa directrice générale, a présenté sa position au comité sénatorial des affaires juridiques et constitutionnelles face au projet de loi C-14, Loi modifiant le Code criminel et la Loi sur la défense nationale (troubles mentaux). Consultez la fiche d’information qui suit pour plus d’informations à ce sujet. [ Fiche d’information ]
En résumé, la FFAPAMM :
- Est en accord avec le principe qui permettra aux familles des victimes d’être davantage impliquées dans le processus d’évaluation qui doit précéder la libération.
- Est en accord avec l’idée d’établir la notion « d’accusé à haut risque » dans la mesure où la personne devra obligatoirement bénéficier de traitements pharmacologiques, d’un suivi psychologique et de mesures de réinsertion sociale.
- Demande le renforcement de la définition de la notion de dangerosité en lien avec l’état mental actuel de l’accusé pour ainsi prévenir les déclarations abusives « d’accusé à haut risque » et des conditions qui y sont associées.
Pour prendre connaissance, en détail, de la position de la Fédération, consultez le document déposé au comité sénatorial [ ici ].
Pour voir ou revoir la présentation de la FFAPAMM sur le Web : [ suivez ce lien ]
Nous espérons que notre contribution au débat saura éclairer le Sénat dans ses prises de position.