La langueur : comme perdre le sel de la vie
journaldemontreal.com | Ce n’est pas une dépression ni de l’épuisement professionnel, mais une sorte de léthargie inexplicable qui s’est emparée de Stéphanie, une jeune trentenaire de Laval. Son mal-être se traduisait par une fatigue généralisée et une impression de stagnation autant dans son travail que dans sa vie professionnelle. On appelle ça, la langueur. Les premiers symptômes sont apparus au cours de l’automne dernier. « J’ai été super active durant la pandémie, a expliqué Stéphanie, qui travaille dans l’immobilier. Je n’ai pas arrêté de travailler, je m’entrainais à la maison en zoom avec mon groupe de crossfit, puisque les gyms étaient fermés. » [ Lire la suite ]
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