Quand la peur du virus paralyse les gens
lapresse.ca | Son « fil conducteur », Pierre-Paul Aveline l’a perdu le 13 mars, ce jour où Québec a décrété la fermeture des écoles en réponse à la pandémie de la COVID-19. L’anxiété a pris le dessus. « On ne savait rien sur ce virus-là, se souvient le Trifluvien, dont la plus grande crainte était de le contracter. Est-ce qu’on peut l’attraper en croisant quelqu’un dans la rue ? Il y avait beaucoup de questions sans réponse. Et ça, c’est anxiogène. » [ Lire la suite ]
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